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Archives Départementales


Lettre n°15 : Aidez-nous à améliorer l’indexation des 3,5 millions nouveaux noms à Paris
Les actes de la collection de Paris indexés
Dans cette édition
  • Les nouveaux actes de Collection Paris et ancienne Seine enfin indexés!
  • Soumettre une variante à l’indexation d’un document
  • Étymologie : Pierre-Gabriel Gonzales dévoile les secrets des Bachelet, Chappuis, Dunis, Gatineau et Tourrel
  • Pratique : partagez vos documents sur Twitter ou Facebook

Chers Abonnés,
Comme vous l’attendiez, ce mois de novembre a enfin vu l’achèvement de l’indexation des 3,5 millions de noms supplémentaires de notre prestigieuse collection Paris et Ancienne Seine. Un travail humain titanesque (340 millions de caractères indexés, près de 96 000 heures de travail) indispensable pour rendre les documents d’archives compatibles avec les outils de recherche contemporains. L’occasion de vous encourager à améliorer la pertinence de notre base de données en vous proposant de publier une alternative à l’indexation chaque fois que vous disposez d’une information différente, et à partager celle-ci avec toute la communauté d’Ancestry. Esprit de partage toujours — Noël & Hanoukka approchent à grand pas — avec la toute nouvelle possibilité ouverte à nos abonnés de publier sur Twitter et Facebook des documents d’archive trouvés sur Ancestry. Comme quoi on peut être passionné par le passé et être à la pointe de la révolution numérique !

Toute l’équipe d’Ancestry vous souhaite une fin novembre et un mois de décembre plein d’initiatives et de succès dans vos recherches généalogiques !

Indexation de la Collection Paris et ancienne Seine : l’achèvement d’un travail de titan.

Généalogie Paris : exemple de document original numériséDepuis cet automne, vous pouviez déjà consulter en mode image les faire-part de décès de notre prestigieuse collection parisienne, avec sans doute un frisson d’émotion à la vision de la mention manuscrite du décès de tel personnage illustre ou, au contraire, de tel inconnu mais cher à votre mémoire familiale. Aujourd’hui, après plus de 96 000 heures de travail de fourmi, nos spécialistes ont achevé l’indexation de cet imposant corpus ainsi que celle d’extraits de mariages et naissances supplémentaires, soit plus de 340 millions de caractères indexés, vérifiés par nos relecteurs et leurs dictionnaires spécialisés. En quoi consiste l’indexation ? Tout simplement à préparer le travail de l’ordinateur, qui ne peut déchiffrer l’écriture manuscrite avec suffisamment de précision, en faisant relire ces centaines de milliers de fiches par des êtres humains, et à recopier dans notre base de données les informations principales — prénoms, noms, dates, lieux & données filiatives — afin de vous permettre de trouver plus facilement les documents qui vous intéressent. Ainsi la collection contient plus de 6 millions de fiches numérisées mais elle vous permet de multiplier vos chances de retrouver un ancêtre grâce à près de 16,5 millions de noms désormais indexés.

N’hésitez pas à profiter de ce travail d’indexation pour retrouver plus facilement vos ancêtres dans la collection de Paris >

L’Alternative à l’indexation : apportez votre pierre à l’édifice !

L’erreur est humaine, qu’elle soit ancienne (variantes patronymiques, dates incertaines, transcriptions de patronymes étrangers...) ou plus récente (fautes de frappe, saisies erronées...) mais, comme l’historien ou le journaliste, le généalogiste sait tout l’intérêt qu’il y a à croiser ses sources. C’est la raison pour laquelle Ancestry vous encourage, dès que vous possédez sur une personne une information différente de celle indexée dans notre base de données, à la partager avec la communauté d’Ancestry tout entière et à contribuer ainsi à enrichir notre plateforme de recherche généalogique. Comment ? Rien de plus simple :

  • lors d’une recherche, vous tombez sur une fiche dont vous soupçonnez qu’elle comporte une erreur. Par exemple, vous trouvez, au 2 décembre 1900, la fiche de faire-part de décès d’un certain Wilde, Osear...

    Indexation généalogique : exemple de nom mal indexé

  • en consultant l’image de la fiche, vous vous rendez compte que l’erreur vient d’une mauvaise interprétation de la calligraphie.
  • dans la marge de gauche, cliquez sur « ajouter une alternative/soumettre une variante ». Une fenêtre de dialogue s’ouvre.

    Indexation généalogique : soumettre une variante

  • choisissez l’élément du nom sur lequel vous proposez une alternative, justifiez–la à l’aide du menu déroulant. Proposez votre orthographe dans le champ libre et, le cas échéant, expliquez-la puis cliquez sur « soumettre une alternative ».
  • une nouvelle fenêtre s’affiche avec votre contribution. Celle-ci pourra être consultée par toute personne consultant la fiche en question, en cliquant sur le lien apparaissant sous l’index original, accompagné du pictogramme d’un crayon.

N’hésitez pas à proposer vos alternatives, surtout pour vos propres ascendants, quand vous pouvez être raisonnablement sûr que votre version est la bonne. Votre proposition ne remplacera pas la fiche indexée dans notre base, mais permettra à notre moteur de recherche de faire apparaître votre contribution comme « alternative » à la fiche erronée.

Cette fonctionnalité, aujourd’hui réservée aux prénoms et noms, sera à terme étendue à d’autres informations (dates et lieux).

Étymologie : notre expert Pierre-Gabriel Gonzales vous dit tout sur les Bachelet, Chappuis, Dunis, Gatineau et Tourrel

Pierre-Gabriel Gonzalez, spécialiste étymologie des noms Second rendez-vous aux origines de vos patronymes avec Pierre-Gabriel Gonzales, qui se penche ce mois-ci sur cinq noms aux racines médiévales, voire gauloise pour l’une d’entre elles. N’hésitez pas à nous faire part de vos demandes concernant votre nom de famille (envoyer un mail à contact@ancestry.fr en indiquant « origine nom » dans l’objet du message) !

BACHELET
Á l’origine de ce nom de famille, un surnom évoquant l’ancien français “bacheleor” issu du latin “baccalaris” qui pourrait se traduire par “serviteur d’un domaine viticole”, d’après le nom de “Bacchus”, le dieu du vin. Ce nom désignait au IXe siècle “un serf non pourvu d’une tenure (terre louée)”. Son sens s’est progressivement modifié puisqu’au XIIIe siècle “bacheleor” s’est appliqué à un jeune homme aspirant à devenir chevalier, et par extension à un jeune nobliau. En général, ce jouvenceau n’avait pas les moyens de lever une bannière (d’avoir une suite et des domestiques) et se trouvait contraint de marcher sous celle d’un autre. Il tenait rang entre chevalier et écuyer. Au XIVe siècle, “bacheleor” a aussi désigné celui qui accédait au premier des grades universitaires (cf. notre moderne “bachelier”, titulaire du “baccalauréat”). Nous le trouvons également dans le vocabulaire ancien des corporations pour nommer l’homme qui agissait sous la direction des jurés et celui qui passait maître dans son métier (XVIe siècle).

La forme Bachelet est portée par 1700 foyers en France aujourd’hui, elle se distingue par une forte présence en Bourgogne (170 foyers), avec un pic de naissances à Chassagne-Montrachet en Côte-d’Or à la fin du XIXe siècle, mais aussi par une forte colonie en Haute-Normandie (330 foyers) et dans le Nord-Pas-de-Calais (300 foyers). Signalons quelques lieux-dits "Le Bachelet", "Bois-Bachelet", "Val-Bachelet"... deux dans les Côtes-d’Armor, un en Haute-Marne, deux en Seine-Maritime et un dans la Somme. Ils évoquent la présence ancienne d’un membre d’une famille Bachelet en ces lieux.

Cette forme patronymique assez fréquente doit bien entendu être considérée comme polyphylétique. Elle s’est développée au travers des siècles à partir de plusieurs souches distinctes. C’est le cas de la majeure partie des patronymes qui comptent plus de 500 foyers en France de nos jours.

En savoir plus sur les Bachelet avec Ancestry >

CHAPPUIS
Nous sommes en présence d’un ancien nom de métier devenu nom de famille. Du bas latin "capputiare" : "couper" qui a donné l’ancien français "chapuiser" : " tailler du bois ", "charpenter" et "chapu(i)s" : "charpente en bois des bâts et des selles", mais aussi "billot de bois" sur lequel on équarrissait les ardoises et les douves des tonneaux. A rapprocher également de cet extrait d’un texte du XVIe siècle qui donne le frisson : "... Le bourreau lui banda les yeulx, puis de luy mesme, (il) se meist à genouils, et estendit le col sur le chapus..." Mais revenons au chapuiseur qui avait aussi le titre d’arçonnier (à rapprocher de notre moderne "cheval d’arçon" des salles de gymnastique). Le premier statut de sa corporation remonte au XIIIe siècle. Aucun des maîtres ne pouvait pas avoir plus d’un apprenti et celui-ci avait pour obligation de produire un "chief d’oeuvre" au bout de six années. Ce n’est qu’après cet examen qu’il changeait de statut et devenait alors "ovrier" ou "compaignon".

Le chapuiseur montait l’armature des selles et des bâts qui passaient ensuite aux mains du "courdouanier", celui qui utilisait le cuir de Cordoue... Le chapuiseur fut souvent rapproché du sellier et du bourrelier avec lesquels il s’est confondu à partir du XVe siècle. La forme particulière Chappuis (avec deux "p") nous renvoie en région Rhône-Alpes qui compte 300 des 635 foyers de ce nom présents de nos jours en France. Elle nous oriente notamment vers la Haute-Savoie avec la confirmation de l’implantation ancienne de ce nom avec le lieu-dit "Chalet-Chappuis" sur la commune de Villaz dans le dit département. Cette forme patronymique peu fréquente doit être néanmoins considérée comme polyphylétique . Elle s’est probablement développée au travers des siècles à partir de deux ou plusieurs souches distinctes.

En savoir plus sur les Chappuis avec Ancestry >

GATINEAU
Avec ce patronyme, nous sommes certainement en présence d’un ancien nom de lieu-dit devenu le surnom de celui qui était originaire. A sa racine, le latin “vastus”, “vide”, “désert” qui a donné l’ancien français “gastine”, “terrain en friche", "champ peu fertile”, "espace non cultivé" (à rapprocher du nom du pays de Gâtinais en Ile-de-France”), comme dans : “Li roy apela Payn Peverel, et luy dona la blanche lande, et forest, et guastine, et tout le pays...” (XIVe siècle). Ces lieux-dits sont assez nombreux, environ une trentaine, répartis dans tout l’Ouest de la France : la plupart d’entre eux se présentent sous la forme "Chez Gatineau", notamment dans les deux Charentes, et rappellent la présence ancienne de ces famille dans le paysage rural. Attention cependant, dans un petit nombre de cas, nous pourrions envisager une autre origine, avec le très rare surnom donné celui qui aimait les chats (de l’ancien occitan “gate”, lui même issu du latin tardif “gattus”, “chat”). Au Moyen âge, la chatte - "gatine" - avait une réputation sulfureuse, le simple fait d’en posséder une pouvait vous valoir un procès "en sorcellerie"... De nos jours, le patronyme Gatineau (810 foyers en France dont quelques rares Gâtineau qui n’ont pas perdu leur accent !), se retrouvent dans la région Charentes-Poitou (200 foyers), avec un pic de naissances à La Rochelle en Charente-Maritime à la fin du XIXe siècle. Ce nom apparaît également de façon soutenue dans les Pays-de-la-Loire (130 foyers) et en Ile-de-France (155 foyers). La forme patronymique Gatineau, peu fréquente, doit être néanmoins considérée comme polyphylétique . Elle s’est développée au travers des siècles à partir de plusieurs souches distinctes.

En savoir plus sur les Gatineau avec Ancestry >

TOURREL
L’origine de ce patronyme pourrait remonter au XIIIe siècle, comme le montre ce récit légendaire : au retour de croisade, les trois frères Simon - dits "de la Tour", "la Garde" et "Mirand" - se remémoraient avec émotion la naissance de leurs surnoms. "... Par un été à la chaleur infernale, nous étions affectés à la défense d’une place forte au nord de la Terre Sainte, rappelle l’aîné, chacun d’entre nous dans une partie de ses fortifications. Pour nous différencier, nos compagnons d’armes, Provençaux et Picards, nous désignaient en fonction de la position et de l’importance de la redoute que nous devions préserver des attaques. Moi, le Simon du nord de la ville, je fus surnommé “de la Tour”, mon puîné, cantonné au sud, reçu le surnom de “la Garde”. Enfin, le plus jeune d’entre nous, perché sur le donjon fut appelé “Mirand” parce qu’il avait pour tâche essentielle de surveiller les manœuvres de l’ennemi devant la ville...” L’importance des tours de défense au Moyen âge se retrouve naturellement dans les noms de famille d’aujourd’hui. De l’ancien français “tour” : “bâtiment militaire situé en hauteur”, d’où de nombreux hameaux, lieux-dits, villages “La Tour”, “Latour” et bien sûr "Tourrel", "la petite tour" qui se retrouve dans les Alpes-de-Haute-Provence, l’Ariège, l’Aveyron, le Cantal, l’Hérault, le Lot-et-Garonne et le Tarn. Pour sa part, le patronyme Tourrel est porté par 160 foyers en France aujourd’hui, notamment en région Provence-Alpes-Côte-d’Azur, avec un pic de naissances à Marseille dans les Bouches-du-Rhône à la fin du XIXe siècle. Selon toutes apparences ce patronyme serait monophylétique* : c’est-à-dire venu d’un ancêtre commun. Cette notion s’applique en généalogie à un nom de famille issu d’un seul individu, à souche unique. Les porteurs d’un patronyme peu fréquent comme Tourrel ont donc toutes les chances d’être "cousins", d’avoir un ancêtre commun dans la ligne agnatique, c’est-à-dire dans celle du nom transmis par les pères.

En savoir plus sur les Tourrel avec Ancestry >

DUNIS
L’origine de ce patronyme nous fait remonter au temps des Gaulois... Il ne s’agit bien évidemment pas d’une filiation directe, mais plus probablement d’un nom de localité d’origine gauloise, devenu le surnom puis le nom de famille de ses habitants quand ils se déplaçaient au bourg voisin. Par exemple, Dun-sur-Auron, jolie cité étape sur la Route Jacques-Coeur dans le Cher doit son nom au gaulois “dunum” : “colline”, "hauteur", ou “lieu fortifié” (et à Auron, affluent gauche de l’Yèvre à Bourges, d’après le gaulois “autura” qui désignait un cours d’eau). Après avoir appartenu aux seigneurs de Dun, la cité a pris le nom de Dun-le-Roi et n’est devenu définitivement Dun-sur-Auron qu’en 1880. Mais elle est loin de posséder le monopole de son nom, citons également : Dun-sur-Gandry et Dhun-les-Places dans la Nièvre ; Dun-le-Palestel dans la Creuse ; Dun-le-Poëlier et Dunet dans l’Indre, etc. Chacune de ces cités doit également son nom principal au gaulois “dunum” : “enceinte fortifiée”. Le nom de "Dun" est également bien représenté par des lieux-dits et des communes dans la Meuse, en Saône-et-Loire, dans l’Yonne, en Seine-Maritime, etc. La forme patronymique Dunis, portée par 175 foyers de nos jours en France se montre très caractéristique de la Haute-Loire (40 foyers) avec un pic de naissances dans ce département à Roche-en-Régnier, à la fin du XIXe siècle. Elle se montre également présente en Rhône-Alpes et en Ile-de-France. Pour sa part, la forme Duny, se montre légèrement plus fréquente, avec 225 foyers en France dont 100 en Rhône-Alpes avec une forte implantation dans le département de l’Ardèche, et un grand nombre de naissances à Mazan-l’Abbaye dans ce département. Selon toutes apparences ces patronymes serait tout deux monophylétiques* : c’est-à-dire venus d’un ancêtre commun. Les porteurs d’un patronyme peu fréquent comme Dunis ou Duny ont donc toutes les chances d’être "cousins" d’avoir un ancêtre commun dans la ligne agnatique, celle du nom transmis par les pères.

En savoir plus sur les Dunis avec Ancestry >

* du grec mono, "seul" et de phylum, "race", "tribu"
** du grec poly, "plusieurs" et de phylum, "race", "tribu"

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