Histoire de la famille Meng

Chinois : forme mandarine du prénom 孟 signifiant « l'aîné parmi les frères et sœurs nés d'une concubine » dans l'ancien chinois : (i) du titre Meng Sun (孟孙) remontant à Qin Fu (décédé en 660 av. J.-C.), l'aîné fils du Duc Huan de Lu (le 15e souverain de l'État de Lu, décédé en 694 av. J.-C.) dans l'État de Lu (situé principalement dans la province actuelle du Shandong). Bien que Qin Fu fût le fils aîné du roi, il n'a obtenu qu'un titre appelé « Zhong Sun » (signifiant « le deuxième aîné parmi les frères et sœurs ») car il était né d'une concubine. Il a ensuite tué deux rois de l'État de Lu et a fini par se suicider.

À cause de la notoriété de son vice, ses descendants ont changé son titre original « Zhong Sun » en un titre relativement inférieur « Meng Sun » et l'ont ensuite abrégé en Meng (孟). (ii) de Meng Tu (孟塗), le nom d'un ancien État (situé à Mengzhou et Mengjin dans la province du Henan) durant la dynastie Xia (2070–1600 av. J.-C.). (iii) du nom personnel de Meng Zhi (孟絷), nom de style de l'aîné frère du Duc Ling de Wey (le 28e souverain de l'État de Wey 540–493 av. J.-C.).

Chinois : forme mandarine du prénom 蒙 signifiant « souffrir » en chinois : (i) du nom de lieu Meng Shuang (蒙雙), le nom d'un fief (situé à Shangqiu dans la province du Henan). (ii) forme abrégée du nom composé Meng Shan (蒙山), le nom d'une colline (située dans la province actuelle du Shandong) où un sacrifice annuel était tenu par un fonctionnaire avec le titre Dong Meng Zhu.

(iii) du nom de lieu Meng (蒙), le nom d'un fief (situé dans la province du Hubei) accordé à un fonctionnaire de l'État de Chu durant la période des Printemps et Automnes (770–476 av. J.-C.). Chinois : forme cantonaise alternative du prénom 明 voir Ming.

Chinois : romanisation variant du prénom 閔 voir Min. Allemand : d'une forme du prénom Magnus. Allemand : variante de Menger. Forme germanisée du sorabe Měńk « lotte » (voir Menk). Danois : nom d'habitation d'un lieu ainsi nommé. Danois : variante de Mang.